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Dans ce 2ème mouvement de la sonate, les articulations doivent être bien prononcées pour rester claires et compréhensibles malgré le tempo. Ayez un staccato léger et homogène sur toute la tessiture et ne forcez pas le son dans les nuances fortes ; vous garderez ainsi un son ample et bien équilibré avec le piano. - RENAUD ESCRIVA |
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Dans ce 3ème mouvement, exploitez bien l'opposition des registres comme deux instruments qui se répondent. Votre grave "quasi funèbre" doit être ample et sonore, sans acidité toutefois, tandis que pour l'aigu vous chercherez un son "flûté" très doux, lointain et sans vibrato. - RENAUD ESCRIVA |
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C'est un mystère angoissant qui plane tout au long de ce brillantissime 4ème mouvement. L'agitation et la fébrilité de votre jeu doivent être le reflet de cette angoisse latente. Dans la conclusion, qui est la reprise du 1er mouvement, n'accentuez pas la croche du rythme de barcarolle au risque d'alourdir votre phrasé. - RENAUD ESCRIVA |